Ait Sadden
Aït Sadden
Village berbère
Ce spectacle est une invitation pour le public, à voyager et prendre la route de là d’où ils sont jusqu’au Maroc. Le point d’arrivée de ce périple est le village de Aït Sadden qui se trouve près de la belle ville de Fès.
Là, assis prés de mon grand-père dont la parole est ressuscitée, j’offre une invitation pour les oreilles et les yeux.
Un arbre qui parle et qui pose bien des problèmes à un « papa hyène », un petit oiseau qui va découvrir le mystère des couleurs sur ses plumes, un paysan qui rêve que d’une seule chose, être riche sans jamais travailler, un homme bleu pleurant face à l’arbre du Ténéré, les origines du plat à Tajine, voilà la parole qui se transmet pendant une heure quinze.
Entre contes traditionnels, récits de vies authentiques ou inventés, les enfants voyagent à travers les personnages de ces histoires en étant aussi acteur du spectacle. Les questions sont posées.
Exemple : Peut-on être riche sans jamais travailler ou bien comment les oiseaux ont-ils eu des couleurs ?…
La parole est donc libre et comme disait mon grand-père :
« Il n’y a pas de questions idiotes car, poser une question t’évite d’avoir la maladie la plus grave sur cette terre, l’ignorance. ».
Là, assis prés de mon grand-père dont la parole est ressuscitée, j’offre une invitation pour les oreilles et les yeux.
Un arbre qui parle et qui pose bien des problèmes à un « papa hyène », un petit oiseau qui va découvrir le mystère des couleurs sur ses plumes, un paysan qui rêve que d’une seule chose, être riche sans jamais travailler, un homme bleu pleurant face à l’arbre du Ténéré, les origines du plat à Tajine, voilà la parole qui se transmet pendant une heure quinze.
Entre contes traditionnels, récits de vies authentiques ou inventés, les enfants voyagent à travers les personnages de ces histoires en étant aussi acteur du spectacle. Les questions sont posées.
Exemple : Peut-on être riche sans jamais travailler ou bien comment les oiseaux ont-ils eu des couleurs ?…
La parole est donc libre et comme disait mon grand-père :
« Il n’y a pas de questions idiotes car, poser une question t’évite d’avoir la maladie la plus grave sur cette terre, l’ignorance. ».
Bien sûr, comme le veut la tradition, tout se vit autour d’un verre de thé à la menthe.
